VISION

Dans un monde en permanente évolution, où les technologies, les comportements des clients, des publics, des actionnaires, des électeurs changent constamment, la communication est par nature une matière mouvante et complexe qui appelle une vision claire et forte.

Trop souvent dans le champ du subjectif, la communication, à l’instar des comptes financiers, peut pourtant être auditée à l’appui de méthodes, d’outils et de standards qui procurent les éléments d’objectivation, de tangibilisation nécessaires aux décisions stratégiques de communication.

Il n’y a pas d’entreprise ou d’organisation dont la Fonction Communication est à l’optimum de son efficacité. Toutes les entreprises ont dans leur Fonction Communication des réservoirs de productivité et de performances non identifiés et non maîtrisés.

Parce que les décisions des organisations sont souvent affaire de compromis, parce que la communication est au premier chef concernée par la révolution digitale, parce que les organisations peinent à avoir une mémoire et que les stratégies de communication s’empilent au gré des priorités et du turn-over, il n’y a pas d’organisation qui puisse prétendre au « 0 défaut » en communication.

Ces facteurs de pertes ou de manques à gagner affectent concrètement et durablement les résultats et la valeur des entreprises. Pourquoi laisser la situation en l’état, alors que l’audit de communication permet de faire le point, de mettre en ordre afin de reprendre le bon cap.

Le rôle de l’audit de communication est de mettre en évidence les décalages, les sources d’inefficacité, de contre-performance, voire de destructions de valeur et donc de faire le point, de mettre en cohérence; d’objectiver et de permettre des gains de performance et d’efficacité. Il est ainsi toujours possible de faire mieux avec autant ou de faire aussi bien avec moins d’investissement.

La communication et le marketing sont impactés en profondeur par la transformation numérique. Nouveaux canaux de distribution, nouvelles pratiques, nouvelles méthodes, nouveaux outils, nouvelles recherches d’optimisation… Tous les savoir-faire et les organisations doivent évoluer.

Les publics sont partout, leurs parcours sont complexes. La « relation client », la manière de lui proposer du contenu, la nature même de ce contenu ont changé. Réseaux sociaux, outils de ciblage, achats media, e-retail et retail digitalisé, e-CRM, la révolution digitale est extrêmement rapide.

Difficile d’intégrer toutes ces nouvelles pratiques, souvent techniques, dans un plan d’ensemble qui reste cohérent et donc efficient. La communication et le marketing numériques sont « super-mesurables ». Ils produisent des données en masse, données qu’il s’agit de collecter, traiter et analyser correctement pour en faire un outil de prévision stratégique.

Enfin le digital transforme les campagnes en produits. Il peut donc révolutionner les modèles économiques des entreprises et des organisations.